lundi 18 avril 2011

XIV - 13 CERTAINS MAGISTRATS : « VERMINE EN HERMINE », ASSOCIÉS EN « BANDES ORGANISÉES », PLUS MORTELS QUE DES TUEURS EN SÉRIE

Si les Français sont les voyageurs les plus désagréables de la planète, il y a une raison : c’est qu’ils sont les plus malheureux. Bien entendu, les juges ne sont pas les seuls à causer leur malheur, mais ils en sont les plus responsables : ils sont censés être le rempart contre l’injustice. Si mes mésaventures montrent que 24 juges peuvent s’allier contre un seul innocent pour le condamner au maximum possible aussi souvent que possible, imaginez combien d’innocents au niveau national peuvent subir la même persécution ! Et sans que l’on n’en sache rien car les médias se taisent et qu’ils n’ont pas entrepris d’écrire un bouquin. Sachant qu’écrire un bouquin c’est la moitié de la difficulté. Derrière, il reste à trouver un éditeur, lequel n’est pas tenté de se mettre le « pouvoir » à dos, surtout en découvrant à quel point il est corrompu !

Des juges « de gauche » qui consacrent leurs journées à condamner les innocents qu’ils considèrent « de droite », qui choisissent avec soin les plus fortes sanctions de leur arsenal pour empêcher les justiciables de réussir dans la vie, ce sont des assassins de la justice. Des juges qui obligent des créateurs d’entreprises à fermer leur société pour les empêcher  de commercialiser des innovations utile à leur pays, ce sont des assassins de la société. Et des juges qui s’allient à d’autres juges pour persécuter pendant des années des individus innocents qu’ils ne connaissent pas, simplement pour faire plaisir aux copains, et qui y prennent tellement plaisir qu’ils continuent à les piétiner alors qu’ils sont déjà à terre, c’est quoi ? Des malades mentaux. De la vermine en hermine… Dans quel état mettent-ils de tels justiciables, qui ont tout donné pour réussir leur vie et finalement tout perdu ? Dans un état dépressif qui mène …au suicide ! Contre cette persécution du système, le Français est impuissant. Il ne peut faire appel ni à la justice, ni au ministère de la justice, ni au conseil supérieur de la magistrature censé surveiller les juges, ni au président de la république, ni aux médias. A personne ! Voilà l’état actuel de la démocratie française…

Ne croyez surtout pas que j’exagère. Le magistrat de droite, ça n’existe quasiment pas, mais le magistrat de gauche, oui, signe de l’injustice fondamentale de notre système. Le juge est un fonctionnaire, par essence endoctriné pendant ses études et ennemi du privé. Le fonctionnaire, lui-même, est en majorité de gauche et le clame. Celui de droite est rare et se tait... Comme le privé représente la majeure partie de la population, le juge-fonctionnaire tout puissant n'est pas l'ami de la population. Laquelle, dans les sondages, exprime clairement sa défiance envers lui… Tout se tient. Le juge de gauche déteste les patrons, ceux qui embauchent les autres et assurent nos revenus. C’est un irresponsable qui passe sa vie, consciemment ou non, à utiliser son énorme pouvoir pour faire le mal. En une journée, il peut produire du jugement injuste à la chaîne comme Mme de La Tolade (voir 1ère partie), répandant en cascade le malheur dans les familles et chez les proches des justiciables. Avec le temps, avec le cumul de ses attaques et de celles de ses copains juges, il peut rendre la vie si insupportable à certains d’entre nous que le suicide peux paraître la seule option pour s’en sortir. Vous en doutez ? Vous ne croyez pas que certains d’entre nous, assez naïfs pour respecter le système et croire en son honnêteté, en arrivent à songer sérieusement à une telle extrémité quand ils se rendent compte que le « monde » entier est contre eux ? Voyez les statistiques des suicides dans les prisons, lesquelles débordent exclusivement à cause de nos magistrats : quadruplement du nombre de suicidés en 20 ans ! 47 suicides en 1982, 57 en 1983, 64 en 1985, 77 en 1988, 95 en 1992, 101 en 1993 et 1994, 138 en 1996, 126 en 1997, 118 en 1998, 125 en 1999, 121 en 2000, 115 en 2008, 122 en 2009. Selon une étude INED (décembre 2009), la France détient le taux de suicide en prison le plus élevé de l'Europe des Quinze ! Et cela en chiffres absolus comme en chiffres relatifs : 20 suicides pour 10 000 détenus, moyenne annuelle entre 2002 et 2006 ! 


Cette hécatombe signifie à l’évidence quelque chose ! Regardons leurs motifs. Selon l’Afsep, 9 % se suicident « par révolte contre la justice et les autorités pénales ». 7% après « échec de stratégies de compromis avec la justice”. 2,5 % « sans motif apparent » …sauf qu’ils se retrouvaient en prison pour des « délits peu graves » ! 6 % par appréhension d’un jugement définitif qui ne vient pas… Si l’on prend seulement ces cas-là et il y en a sûrement bien plus car on ne se suicide pas quand on en été condamné avec justice et humanité, cela donne un minimum de 24 % de 120 suicides, soit 29 suicides par an causés par l’injustice ! Quel tueur en série serait capable d’en faire autant ? Aucun… Même tous nos tueurs en série réunis ne parviennent pas, et de loin, à une telle cadence. Dans une vie de mauvais juge, il y a infiniment plus de dommages directs et collatéraux que dans une vie de tueur en série… Et il n’y a pas que les suicides de la population carcérale ! Il faut compter tous ceux causés en France par l’impuissance de gens fragilisés, que la justice n’a pas aidés ou qu’elle a au contraire massacrés par sectarisme. Et derrière, il y a le mal énorme causés aux proches des victimes, les dommages irréparables causés aux conjoints et à leurs enfants.

Le système judiciaire fabriqué par nos institutions, celui qui encadre nos magistrats et pourrait les contrôler, est exclusivement constitué de fonctionnaires, donc d’individus irresponsables prêchant l’augmentation des pouvoirs de l’Etat sans contrôle des citoyens. Nombre de juges eux-mêmes sont insatisfaits de ce système, reprochant à l’Etat de leur refuser les moyens pour juger rapidement et en équité. On a vu qu’un grand nombre d’associations se sont créées pour lutter contre l’injustice à la française puisque le « pouvoir » en est incapable. On a vu comment un président de la république, Sarkozy, peut décider contre l’avis de tous la disparition du juge d’instruction, le seul magistrat apte à lutter contre la corruption. On a vu que, pour devenir juge en France, il faut uniquement suivre des études poussées de haut fonctionnaire, des études qui fabriquent à la chaîne des jeunes endoctrinés favorables au plus d’Etat, qui arrivent au « pouvoir » sans expérience, sans vision, sans vocation, sans sens des responsabilités. Il ne leur est demandé ni sens de la justice ni maturité, les deux bases indispensables pour faire au moins un bon arbitre. Il ne leur est pas demandé d’avoir été ou d’être « bon père de famille », l'expérience de base et la meilleure école – gratuite et gratifiante – pour apprendre à rendre la justice. Le bon père de famille a une femme et des enfants. Il est donc constamment dans son propre foyer à la fois aimé, évalué et critiqué. Les juges français n'ont pas à subir le jugement des justiciables. Les parents rendent la justice tous les jours, pendant les 20 années que dure l’éducation des enfants, et bénéficient des retours d’expérience qui enseignent les bons choix. Le bon père de famille connaît l’opinion de ses enfants (surtout quand ils sont ados !) et de son conjoint sur son sens de la justice. C’est une opinion sans complaisance et non partisane qu'il est bien obligé de connaître et lui donne l’humilité nécessaire à l’exercice d'une bonne justice. A l’extérieur, son sens de l'équité et ses qualités ne demeurent pas inconnues : il suffit de regarder ses enfants… Un juge ne doit donc être ni un gamin, ni un célibataire, ni un frustré, ni un sectaire, ni un idiot, ni un malade mental. Or, nombre de nos juges sont tout cela à la fois ! On dirait des mal-aimés se régalant du mal qu'ils font aux plus heureux qu’eux, à ceux qui réussissent dans la vie ou détiennent un certain pouvoir. 


Avec une telle justice, comment pourrions-nous connaître paix, sécurité et joie de vivre en France ?

En collaborant dans les attaques d’innocents qui leur déplaisent, les juges adoptent deux formes bien connues de criminalité : « l’association de malfaiteurs » et « la bande organisée ». Dans la première ils se concertent et préparent l’attaque. Dans la seconde, certains d’entre eux mènent l’attaque selon le plan défini par le groupe. Selon la loi, voilà les différentes formes de bandes organisées : proxénétisme, trafic de stupéfiants, extorsion, escroquerie, recel, enlèvements et séquestrations, fausse monnaie, blanchiment, aide à l’entrée ou au séjour irrégulier en France, dopage sportif, criminalité informatique. Là-dedans, j’ai déjà trois motifs pour faire condamner mes juges. A cette liste, il faut donc ajouter : condamnations abusives par les magistrats. Un magistrat qui condamne des innocents à la chaîne ne peut le faire qu’avec la complicité de ses collègues et d’autres membres du système judiciaire (avocat général, greffier, juge de l’exécution, de l’application des peines, etc.).


On l’a vu avec l’affaire Outreau où l’ensemble des magistrats chargés de contrôler le bon déroulement de la procédure a laissé le juge Burgaud condamner et incarcérer des innocents. Dans ce système pourri, rien n’empêche les mauvais magistrats de poursuivre leurs exactions. Regardez le juge Castagné contre lequel j’ai porté plainte pour forfaiture… Je n’ai pas été entendu et il est resté juge sans aucune modification apparente de sa carrière. Ma plainte a simplement été classée sans suite. Il y a aussi le cas bien connu du juge qui se masturbait en audience devant le public… Il est resté juge, tout en faisant la une des journaux… Il n’a pas été sanctionné car on l’a jugé « atteint de schizophrénie ». « Schizophrénie » ? Tiens, tiens ! Cette maladie du haut-fonctionnaire dont je parlais plus haut serait-elle en passe de devenir officielle ? Regardez ces « courroies » de transmission de la corruption du pouvoir politique : par exemple le juge Courroye, réputé pour son rôle de protecteur du RPR (financements occultes) et de son ami Sarkozy. Rappelez-vous cette situation intolérable mais très bien tolérée par l’Etat : ces 60 % de magistrats enrôlés dans la franc-maçonnerie, une association secrète où se nouent des tractations secrètes qui ne peuvent pas servir la justice, justement parce qu’elles sont secrètes ! L’union sacrée de 24 juges contre moi s’explique probablement par leur appartenance à la franc maçonnerie…

Il n’y a pas que la criminalité de la vermine en hermine, il y a aussi la criminalité du législateur qui a conçu notre système judiciaire pour qu’il demeure injuste. Les juges ne sont pas notés !  Quels que soient leur compétence, ils continuent à juger. Il paraît que quelque part quelqu’un enregistre pour chaque juge de 1ère instance le nombre de fois que ses jugements ont été contestés auprès d’une cour d’appel. Mais cela ne sert à rien puisque, même pris en flagrant délit de corruption - comme Castagné - il garde son poste. Quant aux juges d’appels, la 2ème instance, on ne peut tout simplement pas faire appel contre eux ! Ils ne sont pas justiciables. « Au-dessus » d’eux, il ne reste que la cassation, qui n’étudie pas le fond de leurs jugements mais la forme. Et là encore, quand le juge de cassation ne fait pas son travail ou quand il juge en collusion avec ses copains des deux autres instances, il est impossible de le poursuivre, le système n’a rien prévu dans ce sens. C’est bien commode !
On ne va pas refaire le procès complet de notre système judiciaire. Nombreux sont ceux qui l’ont déjà fait mieux que je ne saurai jamais le faire. Il est simplement évident qu’il est peuplé de gens absolument inadaptés à leurs tâches. La criminalité du système judiciaire se détecte jusque dans l’état d’esprit du législateur, qui laisse les avocats généraux dévoyer leur rôle partout en France. L’avocat général est un magistrat du ministère public chargé de défendre en cours d’audience le point de vue de la société. Il est présent dans toutes les audiences. En soi-même, c’est une excellente disposition, deux personnes pouvant s’opposer sans considération de l’intérêt général, ou un justiciable sans défense pouvant être en position de perdre parce qu’il est mal défendu, alors qu’il a raison aux yeux de la société. J’ai pu constater que, systématiquement et sans la moindre honte, les avocats généraux attaquent carrément les justiciables dès que leur adversaire est une administration. On n’a jamais vu (ou presque) un avocat général prendre la défense de quelqu’un alors que c’est justement son rôle ! Cette agression d’Etat intolérable est de notoriété publique. Elle fait des avocats généraux des magistrats craints et détestés. Or, ils sont au service de l’Etat, qui se prétend là pour défendre le faible contre le fort, l’intérêt de la société contre l’intérêt individuel.

Il y a la corruption de notre système judiciaire mais il y a aussi sa stupidité : il est exclusivement répressif alors qu’il est évident pour tous que s’il était préventif, il n’y aurait presque plus d’affaires à juger... Déjà, simplement le débat oral et contradictoire, qui permet à un justiciable de s’expliquer face à ses accusateurs et de comprendre ses éventuelles responsabilités et erreurs, mais qui permet surtout au juge de se faire une opinion sur l’affaire, est la plupart du temps escamoté ! Pour ma part, je ne l’ai jamais connu ! Le justiciable arrive ainsi devant le magistrat pour être « jugé »… On ne peut pas faire plus débile ! Les deux exceptions, c'est la procédure de divorce et les prud'hommes avec leur "bureau de conciliation". Dans ces deux cas, les adversaires sont obligés de se réunir avant l'éventuel procès pour tenter de trouver une solution amiable. Les juges leur font connaître l'issue probable du jugement, ce qui incite le perdant à accepter la conciliation. Au 19ème siècle (je n'ai pas trouvé de statistiques plus récentes !), le bureau de conciliation des prudhommes évitait ainsi 90 % des procès ! Pour ma part, bien qu'ayant écumé les tribunaux, je n'ai bénéficié de cette procédure qu’une fois au début de mon divorce – heureux veinard ! – et une autre fois aux prud'hommes en tant que salarié. Ils m'avaient donné raison. L’avocat de mon employeur, embêté mais connaissant "la justice", avait cependant maintenu ses poursuites. Joli coup ! Avant que je passe en jugement, il y eut élection des prud'hommes et les juges changèrent... Je me suis retrouvé au tribunal devant deux nouveaux juges ignorant tout de mon différend et de mes arguments. J'ai perdu, sans rien y comprendre (rires…) !

1 commentaire:

  1. Association de malfaiteurs en bande organisée qui vident en toute impunité la République de ses lois.http://combatcontreinjustice.over-blog.com

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